Dans son essai Lire aux cabinets, l’écrivain américain Henry Miller explique en quoi il considère le fait de lire aux cabinets comme un signe malheureux de notre incapacité à être « là nous sommes », ainsi que de notre besoin d’être « divertis » en permanence. De son point de vue, somme toute très bouddhiste, tout acte mérite d’être accompli avec intégrité et il est dommage de « fuir » celui-ci par la lecture.
Ce qu’il ne dit pas - et je me permets ici de le déplorer - c’est ce qu’il pense du fait de déféquer dans les librairies et les bibliothèques.
10 commentaires:
Henri Miller se pose bien des questions... Si il a pu observer cela, il doit certainement savoir que ces hommes trop occupés et fuyants ont détruit sa planète, et je comprends que ça le fasse chier!
Bah merde alors moi je lis aux cabinets !!!
Bon mais je lis que des magazines aux chiottes ... pas les livres, ils sont trop sacrés !
En même temps j'ai envie de dire à Monsieur Miller qu'il vaut mieux lire aux cabinets que pas lire du tout :-)
Mais je crois bien que c'est moi qui te l'ai envoyé un jour de grand vent? Contente que tu l'aies lu (j'espère aux cabinets car moi oui)!
Lire aux cabinets c'est comme lire en mangeant, il y a une des deux choses qu'on fait mal...
Mangé épicé présente des risques ...
et si lire fait chier certains, pourquoi pas ?
Ha merde j'en viens.....bon ben je lirais ça plus tard
lol
:)))))) !
Méfie-toi : il y a des internautes "de base" qui vont déféquer à ta demande ! (Mais qu'il est con ce type !)
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