perdu vagues
vagues
abonde le temps
être heurté enrobé de coton
bleu
où sont les rythmes ?
heurestardives
labeur de brumes
torpeur des êtres
réveillés
dans leurs hlm
blême
désirs 2 corps
noircis
par les r&incarnations
carnation mmh…
visions d’épaules voilées
flashes aperçus de là vers l’entre 2
entre à peine à ton insu
dans l’antre
arrimée, là dans ta chair
délivrée
de l’hiver
amer
à la mer
la fuite !
dans le miroir il n’y a plus que
des espoirs ?
le canapé
en paix
tout va bien
le torchon brûle
crapule
accouche & couche/touche !
à toi
soie
décret :
nous repousserons
les herbes
de l’été
dernier
[a p zé]
Texte un peu plus ancien puisque datant de l'automne (écrit à peu près en même temps que Ce qui meurt). Comme Ce qui meurt, il s'agit des deuils de l'été, des doutes de l'hiver, et de comment ils m'ont mené aux deuils du printemps. La loi des causes et des effets est immuable, inévitable, presque fascinante.
1 commentaire:
j'aime ta décalade
des ors
donnés
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