cordes déliées
en symphoniques délices
corps fatigué
de platoniques supplices
écoute & vois
le soi de soie matin
matins d’émoi
où sont les lapins ?
son tout doux
blanc perdu dans le néant
tordu, le cou
de ces jours dissidents
opéra rien
nourrit mes insomnies
bleuet fin
ne comprend journuits
incapable
de structurer le temps
juste aimable
blanc & pas amant
que puis-je ?
attendre & tendre vers
où suis-je ?
oubliés les hivers
5 commentaires:
la nuit le sommeil encore et toujours te nuit....
Le rythme est saccadé, comme un halètement
Ouh, sombres ces vers là ! Sous la douceur des lapin, la souffrance de se chercher !
Ceci dit oui, jolie mélodie !
Ces lapins là ressemblent à celui d'Alice, faussement bienveillant et annonciateur de dangers. j'aodre ce texte, je suis venue le relire, j'étais persuadée de l'avoir commenté. Voilà qui est fait.
**********
Enregistrer un commentaire