Dans une file d'attente à la frontière birmane, un homme de nationalité floue (asiatique en tout cas) s'adresse à une jeune Russe, sur un ton badin :
- How are you tomorrow?
La Russe, visiblement exaspérée :
- I don't know.
Et l'Asiatique, candide, de s'étonner :
- You don't know?
Non, elle ne savait pas...
Il y a dans ma chambre cinq ampoules au plafond. Un gros spot central et quatre petits spots, un à chaque coin. Sans surprise, l'interrupteur des quatre petits spots n'en allume que trois, quand l'interrupteur du gros spot central allume celui-ci et... le quatrième petit spot.
Un certain nombre de Thaïs mettent leur clignotant pour indiquer qu'ils vont... suivre la route ! Ainsi, si la route fait un coude à droite, on met le clignotant à droite et si c'est un coude à gauche, on met le clignotant à gauche. Peut-on présumer qu'il arrive aux Thaïs de ne pas suivre la route et d'aller tout droit dans le fossé, auquel cas ils n'activent pas leur clignotant ?
Et puis comme les attardés mentaux et autres frustrés (politiques ou sexuels) ont désormais le droit de se pourvoir d'une connexion internet et de s'exprimer librement sur les réseaux sociaux, la France vient parfois m'assommer de sa bêtise jusqu'en Asie. Ainsi, après s'être énervé tout seul sur un com que j'avais déposé sur le statut d'une @mie, et m'avoir asséné ce qu'il fallait d'insultes et de grossièretés (c'est apparemment comme cela que l'on ouvre un débat de nos jours, du clash et du buzz), un inconnu conclut par ces mots édifiants : « Décidément il existe un monde dont tu n'as pas conscience ». J'en suis resté si ébahi que je me suis même abstenu de répondre, tiens !
Alors voilà...