Tout
à l'heure, j'étais sur le balcon de l'Américaine à qui je donne
des cours de français. En la quittant, je songeais que ce balcon
était bien agréable, et que c'était bien dommage parce que l'hiver
prochain nous allions devoir nous replier à l'intérieur. Et puis
d'un coup je me suis rappelé qu'ici à Phnom Penh, il n'y a pas
d'hiver, et j'ai soupiré de soulagement !
Ces
vieux réflexes qui nous poursuivent...
(P.S.
: je m'excuse auprès de mes lecteurs de cette longue pause dans le « feuilleton » de mon premier voyage en Inde, qui
reprendra d'ici la fin de la semaine. J'étais bien occupé ces
dernières semaines ^^).
6 commentaires:
Dis donc, je viens de jetter un oeil sur ton blog....quelle créativité et quelle productivité aussi.
Dis moi quand une Bd de ton cru scénaristique sort, que je courre à la librairie.... (j'aime beaucoup celle qui commence sur le paquebot à Marseille...)
Et oui, ce satané réflexe de l'hiver...Le contraire serait regrettable, si tu revenais en hiver rêvant d'un été perpétuel...
Façon de nous faire rêver ah !
Tu ne peux pas savoir comme je trépigne sur place en l'attente du prochain épisode... Ca a été la reprise, mon cher (désormais!) collègue?
Ca me rappelle ma course au Pôle Nord, je me suis dit, c'est dommage que ça fonde en été, c'est la seule saison sympa, l'hiver ça fond pas mais on le voit pas, enfin bref.
un éternel été ça doit faire drôle à un européen, non?
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